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Livres

"On ne mange pas les cannibales" 
(Belfond Noir sortie le 22 mai 2025)  

Roman

Noir, ravageur, éblouissant, On ne mange pas les cannibales est une petite bombe de suspense et d'émotion.

 

Une histoire d'amour et de vengeance tout en tension, pour sonder la bestialité des âmes.
Noël Rivière est le propriétaire d'un zoo familial du sud de la France. Sa vie froide et solitaire se trouve bouleversée lorsqu'il rencontre Bambi, une adolescente livrée à elle-même, qui s'introduit chaque jour dans le parc pour échapper à la misère de son quotidien et à la violence de son frère aîné. Touché par cette gamine farouche, Rivière décide de lui offrir un emploi, de l'aider, de la protéger. Jusqu'à sceller leurs destins.
Pour Noël et Bambi, un bonheur fragile semble à portée de main, mais le danger rôde. Alors que les humains l'ignorent, les animaux sentent la menace qui se rapproche. Ils reconnaissent l'odeur d'une bête qui n'appartient à aucune espèce. Un monstre imprévisible et cruel qui attend son heure pour bondir et tout saccager...

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"L'argent tout le temps"
(Belfond Noir 2023)

Roman

 

L'utopie, mère de tous les crimes...

Souvenez-vous du printemps 2020. La prise de conscience d'un monde qui change ; l'envie de devenir meilleurs, d'aller à l'essentiel, d'en finir avec le système.
Manon Deraison l'a fait. Fougueuse et volontaire, la jeune femme est le cerveau anonyme qui a créé le Care, une cryptomonnaie basée sur l'entraide. Aucun banquier n'y croyait...
Or, en quelques mois, le Care est devenu une monnaie d'échange si puissante qu'elle fait trembler l'économie de marché. Mais comment s'en débarrasser sans créer un soulèvement national ? Comment retrouver ses fondateurs dont l'identité est si bien protégée ? Dans l'ombre du président, un conseiller a une idée aussi insolite que risquée : faire appel aux talents d'Ivo Butorac, un joueur professionnel néo-zélandais.

Pièges, crimes et séduction. Dans les arcanes d'un monde sans scrupules, Manon et Ivo commencent une partie d'échecs hautement dangereuse...

Premier thriller d'une ancienne journaliste et psychanalyste, L'Argent, tout le temps est un roman aussi délectable qu'incisif sur le pouvoir et les compromis indicibles de l'État pour nourrir le système. Idéalistes s'abstenir.

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"Athens Riviera"
ASSOULINE

Beau Livre

Je ne suis pas Grecque. Je ne parle même pas grec. Je ne suis plus une métèque (non citoyenne de l'Athènes antique) puisque je vis ici, mais je reste une barbare (car incapable de maitriser le Logos). Il me faut faire un énorme effort d’adaptation pour comprendre ce qui m’entoure au quotidien. J’apprends la grecquitude si on peut dire. 

 

Vivre ici relève d’un choix. Pas d’une fatalité.  Mais quelle est la part de la fatalité dans le désir ? Parce qu’enfin, la Grèce m’a toujours fait de l’œil. Un œil rond comme celui du Cyclope, créature mythique et anthropophage. Longtemps avant que je m’y installe, la Grèce m’avait inspirée un roman, écrit sous la dictée de mon invisible daimôn , cette voix dont parlait Socrate, conseillère secrète de nos pensées et de nos actes, cette voix intérieure d’avant que Freud parle d’inconscient.

Si l’histoire commençait à Paris elle s’achevait en Grèce. Prémonition ou farce du destin, je l’ignore encore, mais la Grèce a existé très tôt pour moi. Mais chacun pourrait dire cela car la Grèce est la préface de beaucoup d’entre nous… 

Nous comptons avec Pythagore et Euclide, nous pensons avec Socrate, Aristote et Platon, nous espérons avec Epicure, nous regardons les étoiles avec Eratosthène, nous gouvernons avec Solon et Clistène. Nous psychanalysons avec les mythes grecs. Nous guérissons avec Hyppocrate et comme le dit non sans humour l’écrivain Vassilis Alexakis :« nous mourrons tous d’une maladie grecque ».

 

On a tous un jour voulu partir en vacances sur une île grecque. Et ceux qui en ont fait l’expérience savent qu’on est toujours tenté de ne pas en repartir. On se promet de revenir un jour, lot de consolation. J’ai fait beaucoup d’aller-retour entre Paris et Paros. Ma vie se tenait entre les deux voyelles qui les sépare. 

 

La nostalgie est aussi une invention grecque. Une algie chacun le sait, c’est une douleur. Le nostos est un des mots clé de l’Odyssée, ce mot qui signifie le désir du retour. 

 

Il y eu tant de retours que je finis par ne plus savoir si le retour se faisait vers Athènes ou vers Paris. 

 

Elle est un « chez soi » idéal comme l’a écrit Henry Miller dans le Colosse de Maroussi. 

 

La Grèce n’est pas un pays de demi-mesure, c’est au contraire la terre du  ola o tipota*. 

Un jour que j’attendais mon avion pour Paris à l’aéroport d’Athènes, je m’aperçus que la Grèce m’avait fait un petit cadeau de départ, un don qui nous lierait à jamais.

J’attendais un enfant. Parmi les noms que je lui ai donné figure celui d’Achille. La Grèce, mon talon d’Achille. Petit à petit, par ce talon j’ai pris racine : Je me suis établie à Athènes que Thucydide appelait "la Grèce de la Grèce » et quand je pars maintenant je ne retourne plus en France, mais je reviens en Grèce. Comme le disait le poète grec Cavafys, j’ai trouvé mon « Ithaque ». 

 

*petit rien

*tout ou rien

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"Les variations du Diable" (2013)
Société écrivains

Roman

En principe, on ne meurt qu'une fois.

 

Cela ne semble pourtant pas être le cas pour le célèbre poète Rafaël Cortes. Ainsi quand son fils Diego apprend qu'il vient de trouver la mort à Séville alors qu'il le pensait déjà décédé depuis vingt ans, il est bien décidé à percer le mystère de cette double disparition. Pour l'aider, il a deux atouts : un manuscrit que son père lui a légué et une jeune femme, Magdalena. Pourtant les mystères ne se résolvent pas et d'autres surgissent. Parmi eux, l'apparition d'une figure diabolique et une revenante à la beauté littéralement fatale.

La folie flirte avec le désespoir. Il est désormais impossible de savoir ce qui relève du rêve ou de la réalité, du passé ou bien du présent. La solution est pourtant là, entre les mains du lecteur. Diego doit la découvrir lui aussi. Mais en aura-t-il le temps ?

Grâce à un style baroque, l'auteur réussit à rendre un récit fantastique dans lequel nous glissons de l'atmosphère envoûtante d'une Séville à la fois sombre et lumineuse, à un climat de déraison et d'angoisse jusqu'à une fin des plus déroutante.

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